Voilà un classique de mon enfance! Depuis que j'ai vu ce film dans lequel Jennifer Connelly incarne une adolescente rêveuse forcée de traverser un immense labyrinthe afin de retrouver son petit frère, elle est restée l'une de mes actrices préférées. Et le film Labyrinth, malgré qu'il pullule de quétaineries, a conservé chez moi une certaine valeur sentimentale!
Mais on n'a qu'à visionner les 5 premières minutes du film pour réaliser qu'on est tombé sur quelque chose d'un grand quétaine. Le film ouvre sur les images d'un harfang des neiges en vol, suivi d'un plan montrant Sarah au milieu d'une clairière, vêtue d'une immense robe de princesse, rédigeant tant bien que mal les paroles poétique de son livre "The labyrinth". Et l'adolescente se retrouvera bientôt dans le vrai labyrinthe, entourée de personnages aussi étranges que quétaines: une sorte de gros singe peureux qui clame son amitié à tout vent (même auprès des roches!), un petit goblin bourru qui devient sentimental auprès de Sarah, une petite créature hyperactive qui joue les grands chevaliers...
Mais c'est lorsqu'on découvre un David Bowie maquillé, avec une coiffure impossible et dansant, vêtu d'un collant, qu'on réalise jusqu'où on sombre dans le quétaine en regardant ce film. Vous en doutez? Alors, je vous invite à regarder l'extrait suivant!
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